L’histoire sans fin des punaises de lit à Montréal depuis 2013: Une décennie d’infestation, d’inaction et de lutte invisible

L'histoire sans fin des punaises de lit à Montréal depuis 2013

Depuis plus d’une décennie, Montréal est le théâtre d’une infestation silencieuse mais tenace : celle des punaises de lit. Apparues en force dès 2013, ces parasites ont trouvé dans la métropole un terrain fertile: vieux immeubles, logements sociaux, immeubles mal entretenus et forte mobilité résidentielle. Le résultat ? Une recrudescence persistante, souvent cachée sous le tapis de la honte ou de l’ignorance.

Une ville marquée par les taches rouges et les piqûres inexpliquées

Les cartes d’infestation publiques, comme celle de 2019, en disent long. Des zones entières – Centre-Sud, Hochelaga, Parc-Extension, Côte-des-Neiges, Saint-Michel – sont devenues synonymes de punaises. Certaines adresses reviennent année après année, preuve d’une gestion inadéquate ou trop tardive du problème.

Ce n’est pas une crise passagère : c’est devenu un problème structurel. Trop souvent, on traite le symptôme sans s’attaquer à la source. On fait venir un exterminateur pour une seule unité, sans inspecter les voisins. Résultat : l’infestation revient, inévitablement.

Une guerre invisible… et mal menée

Les punaises de lit ne se propagent pas au hasard. Elles suivent le tissu social : elles voyagent dans les valises, les vêtements, les meubles de seconde main. Elles s’infiltrent par les fissures, les conduits, les prises électriques. Et lorsqu’on les ignore ou qu’on attend trop longtemps, elles s’enracinent.

Pire encore : de nombreux immeubles ne disposent d’aucun système de détection préventive. L’intervention ne se fait qu’une fois que l’infestation est bien avancée… et qu’elle a probablement déjà contaminé plusieurs logements.

Une approche nouvelle : détecter avant de devoir traiter

Chez Accord Extermination, nous avons compris une chose essentielle : le temps joue contre vous. Chaque semaine perdue multiplie les risques, les coûts, et la détresse des locataires. C’est pourquoi notre approche repose sur trois piliers :

1. Détection préventive par capteurs installés discrètement dans les logements.

2. Intervention coordonnée dans tout l’immeuble, pour éviter les évasions d’insectes.

3. Suivi et garantie, pour s’assurer que l’infestation ne revienne pas.

Montréal peut gagner la guerre… mais pas seule

La Ville de Montréal a mis en place certaines initiatives, mais le problème reste mal encadré. Ce sont les propriétaires, les gestionnaires immobiliers et les citoyens qui doivent prendre le relais — en s’outillant, en s’informant, et en agissant avant que le problème n’explose d'avantage.

Il est temps d’écrire une nouvelle page dans cette histoire sans fin. Une page de contrôle, de rigueur et de prévention. Et nous sommes là pour vous y aider.

Au Plaisir!